Simple Avis
Les sept dormants …et le pain « moisi »
Etant en congé, ennuyé, j’ai allumé la télévision et je me suis branché sur les visages des candidats aux présidentielles sur la chaîne « l’unique » entrain de présenter ce qu’ils ont qualifié de programme électoral. Quelques minutes ensuite, je me suis imaginé comme l’un des « sept dormants» qui se sont endormis dans une caverne pour un bout de temps, sans s’en rendent compte de la durée de temps qu’ils ont passée dans cette dernière, une journée ou presque. Pour s’en assurer, ils étaient obligés de dépêcher un émissaire à la ville.
Dans le discours des candidats, je n’ai trouvé aucune différence avec l’histoire des « sept dormants », qui me pousse à croire que nous sommes réellement dans de nouvelles présidentielles. Sans l’arrière plan du studio des candidats, où était dessiné un scrutin avec les couleurs nationales et où était prescrits « élections présidentielles 2009 », j’aurais pensé que nous étions dans les présidentielles de 95, de 99 ou de 2004, étant donné que ni le goût ni la couleur de l’ensemble des discours n’ait changés, comme si que l’Algérie ait été « congelée » dans un « frigo », dans une très basse température, pour être ensuite décongelée à ce rendez-vous électoral.
Les candidats qui veulent gouverner le peuple n’ont fournit aucun effort à préparer de bons discours qui ouvriraient l’appétit et faciliteraient la digestion sans provoquer le colon. Ce dont ils ont été capables, cinq ans plus tard, c’est de nous sortir le même disc, dont les bouts ont été endommagés suite à l’usage excessif. L’Algérien est-il devenu aussi dupe jusqu’au point où l’on tente de le nourrir avec du pain « moisi » ?. Les candidats à ces présidentielles sont-ils aussi avares jusqu’au point de nous redonner les vieilles promesses qu’ils nous faites à plusieurs rendez-vous électoral?.
Ces candidats n’ont aucunement pas honte de stipuler pour le poste de premier magistrat du pays. Ils ne trouvent pas, honte, de se demander dans leurs meetings pourquoi les algériens ne votent pas massivement, même s’ils savent pertinemment que c’est leur discours vides, leurs fausses promesses et leurs hypocrisie politique qui ont tué l’amour de la partie chez les algériens qui prient pour la malédiction de la politique et des politiques…
L’installation d’une commission politique pour contrôler les listes électorales et le déroulement technique des élections, n’était pas aussi nécessaire que la création de commissions d’inspecteurs appartenant au ministère du commerce pour contrôler les marchandises dont la validité ait expirée ainsi que le discours politique périmé présenté par les candidats dans les différents rassemblements dans l’ensemble des wilayas, afin d’éviter au peuple d’attraper une intoxication politique à laquelle nos hôpitaux seront incapables de trouver le remède adéquat.
Les sept dormants …et le pain « moisi »
Etant en congé, ennuyé, j’ai allumé la télévision et je me suis branché sur les visages des candidats aux présidentielles sur la chaîne « l’unique » entrain de présenter ce qu’ils ont qualifié de programme électoral. Quelques minutes ensuite, je me suis imaginé comme l’un des « sept dormants» qui se sont endormis dans une caverne pour un bout de temps, sans s’en rendent compte de la durée de temps qu’ils ont passée dans cette dernière, une journée ou presque. Pour s’en assurer, ils étaient obligés de dépêcher un émissaire à la ville.
Dans le discours des candidats, je n’ai trouvé aucune différence avec l’histoire des « sept dormants », qui me pousse à croire que nous sommes réellement dans de nouvelles présidentielles. Sans l’arrière plan du studio des candidats, où était dessiné un scrutin avec les couleurs nationales et où était prescrits « élections présidentielles 2009 », j’aurais pensé que nous étions dans les présidentielles de 95, de 99 ou de 2004, étant donné que ni le goût ni la couleur de l’ensemble des discours n’ait changés, comme si que l’Algérie ait été « congelée » dans un « frigo », dans une très basse température, pour être ensuite décongelée à ce rendez-vous électoral.
Les candidats qui veulent gouverner le peuple n’ont fournit aucun effort à préparer de bons discours qui ouvriraient l’appétit et faciliteraient la digestion sans provoquer le colon. Ce dont ils ont été capables, cinq ans plus tard, c’est de nous sortir le même disc, dont les bouts ont été endommagés suite à l’usage excessif. L’Algérien est-il devenu aussi dupe jusqu’au point où l’on tente de le nourrir avec du pain « moisi » ?. Les candidats à ces présidentielles sont-ils aussi avares jusqu’au point de nous redonner les vieilles promesses qu’ils nous faites à plusieurs rendez-vous électoral?.
Ces candidats n’ont aucunement pas honte de stipuler pour le poste de premier magistrat du pays. Ils ne trouvent pas, honte, de se demander dans leurs meetings pourquoi les algériens ne votent pas massivement, même s’ils savent pertinemment que c’est leur discours vides, leurs fausses promesses et leurs hypocrisie politique qui ont tué l’amour de la partie chez les algériens qui prient pour la malédiction de la politique et des politiques…
L’installation d’une commission politique pour contrôler les listes électorales et le déroulement technique des élections, n’était pas aussi nécessaire que la création de commissions d’inspecteurs appartenant au ministère du commerce pour contrôler les marchandises dont la validité ait expirée ainsi que le discours politique périmé présenté par les candidats dans les différents rassemblements dans l’ensemble des wilayas, afin d’éviter au peuple d’attraper une intoxication politique à laquelle nos hôpitaux seront incapables de trouver le remède adéquat.
